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Face aux menées subversives du PNDS : la fermeté s’impose au CNSP !

Depuis que les barons du PNDS sont déchus quels malheurs n’appellent- ils pas sur leur pays, invitant des forces étrangères à s’attaquer au pays, à frapper, à détruire tout dans le pays – car, peutêtre n’ayant plus rien à perdre –, heureux, tant que ce ne sera pas eux aux commandes du Niger, tant pis, peuvent-ils rêver, que le pays soit ingouvernable. Ces gens, les Nigériens les connaissent suffisamment. Même avec une élection normale, a fortiori avec celles controversées par lesquelles ils se sont imposés aux Nigériens, qui leur donneraient une légitimité défendable, rien ne peut les autoriser, si ce n’est par égoïsme, à appeler une communauté sous-régionale et des puissances étrangères à s’attaquer à leur pays si tant est qu’ils s’en réclament réellement encore. Quelle ingratitude de la part de ces hommes et femmes qui ont déjà oublié tout ce qu’ils ont eu de ce pays et de ce peuple qui leur a tout donné, et qui les a laissés gouverner quand même ils n’avaient aucune légitimité réelle dans le pays.

Jamais les Nigériens n’ont imaginé que ces hommes qui ne pouvaient pourtant plus rassembler autour de leur parti des foules, plus limité au cercle de ceux qui ont profité du système de prédation qu’ils mettaient en place en 2011, puissent aller à de tels extrémismes suicidaires. Ils sont en effet conscients de ce qu’ils abandonnaient sur les bords de la route, tant de militants oubliés et déçus, notamment ceux qui, pendant des années avaient cru à leur discours, pour être avec eux dans tous les combats pour n’en être, au finish, que des déflatés d’un socialisme de contrebande, contrefait. On comprend qu’au lieu de cette base qui ne suit plus, déchantant depuis qu’elle vit les bases subjectives sur lesquelles leurs leaders décidèrent de gérer le pays, notamment dans l’exclusion et le clanisme Ceux qui s’agitent depuis des jours, refusant, sans en avoir les moyens, d’accepter la situation dont ils n’ont plus le contrôle, comptant cependant sur une France qui ne peut plus rien imposer au pays qui ne peut être la propriété de ses amis, ont ainsi pris le risque de se mettre en travers des intérêts du pays, jouant à sa destruction, à sa déstabilisation dont ils sont aujourd’hui, les complices que tout le monde voit aujourd’hui. Leur cas est d’autant grave que même dans leurs rangs, des voix s’élèvent pour se désolidariser de leur défaitisme, et de ce qu’ils n’ont jamais aimé en réalité le pays, tenus par leurs seuls égoïsmes. Ces gens, pour l’ensemble des Nigériens, ne peuvent pas ne pas payer pour la déstabilisation du pays à laquelle, depuis des jours, se mettant dans le maquis politique, certains des leurs, dans leur activisme, à l’ombre de la France qui les protège contre leur pays, cherchent à tout prix le chaos pour le Niger, et audelà, pour toute la sous-région. Peut-on être malveillant contre son propre pays ? Le Niger est un bien commun que personne ne peut faire sien pour permettre à un clan d’en faire son exclusivité. Ces hommes et ces femmes, totalement à la dérive et en déphasage avec la nation et les valeurs de la République, ne sont pas moins que des dangers publics pour la survie du pays. Pour deux raisons, au moins, le CNSP doit avoir toute la vigilance requise pour mettre hors d’état de nuire, cette bande de malfaiteurs qui aspirent à saper les fondements de la nation, à ressusciter politiquement sur les ruines d’un pays qu’ils appellent à détruire. Veulent-ils gouverner nos cadavres ? Ou veulent-ils créer les conditions de la destruction du pays pour que leurs amis – suivez mon regard – viennent s’installer sur nos richesses qu’ils envient et qui justifient leur soutien calculé à des dirigeants soumis, depuis des années au service de la France et de son impérialisme.

Comploteurs plus qu’eux on meurt….

Il y a d’autant plus à se méfier de cette camarilla qu’il s’agit d’hommes et de femmes qui, durant tout leur compagnonnage, n’ont usé que de complots, pensant et repensant des stratégies pour nuire à un tel, pour éviter tel déboire qui risque de leur arriver. Ils n’ont jamais rien fait qu’ils n’auront pas mûrement réfléchi.

Aujourd’hui, même séparés quand certains sont hors du pays et que d’autres restent au pays, souvent rentrés en clandestinité quand les moins chanceux peuvent être les mains de ceux qui prenaient le pouvoir, l’on sait que ces gens mijotent quelque chose, agissant sous l’ombre d’Emmanuel Macron, leur protecteur. Triste que l’armée, face à leur échec, vienne les balayer, pour réveiller en eux tant de haines revanchardes, ne pouvant accepter leur nouveau sort, grommelant de rage et de félonie. C’est donc des gens à surveiller de près et on les voit, qui pactisent à ciel ouvert avec le diable, l’incitant pour leur confort perdu à s’attaquer à un pays qu’ils peuvent ne plus aimer depuis qu’ils peuvent savoir qu’ils ne peuvent plus faire bon ménage avec un peuple qui les a rejetés, et aujourd’hui bannis. Mais, il y en a pire chez eux.

Cynique jusqu’aux os…

Les Nigériens peuvent se rappeler avec quel cynisme, quelle brutalité, quelle violence, pendant les deux mandats d’Issoufou, les Nigériens avaient été martyrisés, vivant par le raidissement du système déguisé en dictature au moyen d’élections façon-façon qui peuvent le maquiller avec les couleurs trahies de la démocratie. Pour atteindre ce qu’ils veulent, ils sont prêts à tout. Si on les rate, eux ne rateront pas car ils sont sans pitié. Les Nigériens le savent. Face à ce rassemblement de malfaiteurs, le CNSP doit agir avec fermeté. Il n’a plus de temps à perdre. Les monde est aujourd’hui avec le Niger, sans la France. Ce n’est pas un problème. Car elle-même est ambigüe, d’autant qu’au même moment où elle dit ne pas reconnaitre les autorités en place, elle peut quand même demander, quand elle prend ses clics et ses clacs pour sortir du pays, à ces mêmes autorités, non à Bazoum et à son régime, d’assurer la sécurité de son ambassade.

Agir vite…

Beaucoup de confrères et de citoyens l’ont dit : on ne maitrise le taureau qu’en tenant fermement ses cornes. Il faut donc rapidement envisager des mesures conservatoires à la hauteur de leurs agissements contre le pays. Les conditions sont aujourd’hui réunies pour envisager des mesures drastiques contre un tel parti qui peut comploter contre le pays, à travailler en association de malfaiteurs avec des forces étrangères pour le déstabiliser. C’est pourquoi, en plus de la mise aux arrêts de l’ancien président qui est pour tous les Nigériens à la base de tous les malheurs du pays, ce pour étouffer définitivement ses visées monarchistes par lesquelles il voudrait aristocratiser la démocratie nigérienne, il y a à prononcer carrément la dissolution de son parti qui ne nourrit aujourd’hui pour le pays et ses nouvelles autorités que la malveillance, que du malheur. Aux grands maux il faut les grands remèdes et pour qui sait qui sont ces gens, de quel acabit ils sont, l’on ne peut tergiverser à leur demander des comptes : pétrole, uranium, budgets de la défense, école, sécurité, infrastructures, etc. Ce n’est pas ce qu’il faut pour les confondre qui manque !

Il n’y a plus à attendre, à leur donner le temps de s’organiser pour trouver la voie.

Mairiga