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Formation sur le Programme Erasmus + : Un partenariat académique avec les Universités et établissements professionnels

Dans le cadre de la célébration de la «Quinzaine de l’Europe», la Délégation de l’Union Européenne a organisé, hier matin à Niamey, en partenariat avec le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la cellule Erasmus + du Cabinet du Premier ministre, une formation sur le programme Erasmus+ à l’endroit des représentants de plus de 25 Universités et établissements de formation professionnelle et d’enseignement technique au Niger.

Cette formation qui durera 2 jours a pour objectif de renforcer la visibilité du programme Erasmus+, de partager les informations afin que les ambassadeurs de ces Universités aient les connaissances nécessaires pour monter le partenariat avec les autres Universités en Europe.

Selon les explications de la chargée de Programme Education de la Délégation de l’Union Européenne, Mme Charlotte De Grauwe, Erasmus+ est le programme européen pour l’éducation, la formation, la jeunesse et le sport. Le programme fête sa 35ème  année sous le thème de ‘’l’inclusivité avec un budget de 26,5 milliards d’euros’’, soit une augmentation de 70% par rapport au programme 2014-2020. Il est géré par l’Agence Exécutive Européenne pour l’Education et la Culture de la Commission européenne située à Bruxelles.

Erasmus+ a pour but de donner aux étudiants, enseignants, formateurs, personnels, jeunes, etc., la possibilité de séjourner (études, stage) à l’étranger pour renforcer leurs connaissances, leurs compétences et leur employabilité. Erasmus+ aide, en outre, les organisations à travailler dans le cadre de partenariats internationaux. Il permet de partager les savoir-faire et d’innover dans les domaines de l’éducation, de la formation, de la jeunesse et du sport.

Les nouvelles priorités du programme Erasmus+ 2021-2027 sont axées sur l’inclusion et la diversité. Le programme vise à développer l’égalité des chances, l’inclusion et la diversité au bénéfice des personnes ayant moins d’opportunités en raison de leur âge, de leur milieu culturel, social et économique, de leur handicap, de leur origine ou encore de leur lieu de vie (zones enclavées).

Aminatou Seydou Harouna (ONEP)

Source : http://lesahel.org/