Immixtion du Ministre des Affaires étrangères du Nigéria dans nos affaires L’affirmation inconditionnelle de notre souveraineté Yusuf Maitama Tuggar : l’Avocat du diable !
Très souvent, nous entendons certaines personnes taxer d’autres d’être : ‘’Avocat du diable’’. Et bien sûr avec raison car, lorsqu’on se réfère aux agissements indélébiles du Ministre des affaires étrangères, Yusuf Tuggar, on se rend à l’évidence compte qu’il n’est pas loin d’appartenir à cette classe de personnes confuses qui se mêlent des affaires dont elles ignorent les tenants et les aboutissants. Dans le langage juridique l’attribut d’un Avocat est de défendre un client dont il a en charge le dossier. Logique est cet attribut qu’on lui reconnait et accorde car, l’Avocat est ce qu’on appelle : « l’aguerri du droit ». Raison une fois de plus pour laquelle cette tâche lui est confiée. Lorsqu’un Avocat se retrouve en face d’un dossier, qu’il est censé défendre et, comportant des chefs d’accusations tels : le vol en réunion, tentative d’évasion et haute trahison… je dirai que cet Avocat a sérieusement du pain sur la planche. Et pourtant c’est à cet exercice périlleux que s’attèle M. Yusuf Tuggar du Nigéria. En témoigne sa récente position prise contre l’Etat du Niger. Là ou des institutions ont failli, La France se plie désormais sur un clown car seul lui peut assurer de telles mésaventures. Et c’est malheureusement sur le Ministre des affaires Etrangères du Nigéria sur qui ce choix a été porté ; le choix de Macron d’utiliser des boucs-émissaires pour déstabiliser l’Afrique puisqu’il est convaincu qu’à l’heure actuelle, Patrice Talon et Alassane Dramane Ouattara se cherchent comme le disent les ivoiriens. Pour l’heure, il faille à Yusuf Tuggar de revenir à la raison à moins qu’il ne se sente apte à défendre des dossiers indéfendables du Diable. Et en ce moment, il n’est purement et simplement que « l’Avocat du Diable ». Sur ce, il est important de rappeler à un Avocat de la sorte surtout avide d’argent qu’il est impossible de plaider la relaxe du client dont le cas est aussi extrême par un simple bâton magique. Il est aussi bon de lui rappeler que la Justice ne fonctionne pas par coup de baguettes magiques mais plutôt, par des textes qui l’encadrent. Et que par ailleurs, la matière juridique n’est pas confuse comme l’est M. l’Avocat du Diable M. Yusuf Tuggar plus confus que le Diable même dont il prétend défendre l‘intérêt.
Djibril. T /Amadou. I