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Assainissement des finances publiques - Justice pour le peuple Nigérien : Le CIRAC sème la panique dans les rangs des guristes !

Idi Ango OmarLa récente sortie médiatique sur la RTN du centre de réflexions et d’actions citoyennes (CIRAC), dirigé par l’ancien ministre de l’intérieur du feu Général Ibrahim Baré Maïnassara, Idi Ango Omar, a profondément troublé le sommeil des guristes désormais en débandade. Ainsi, le CIRAC qui réagissait à la demande du pardon et de l’oubli que prônait le Général Tiani à l’occasion de la réception du rapport final des travaux des assises nationales, n’a pas passé par le dos de la cuillère, pour appeler avant toute autre entreprise, à la manifestation de la justice sociale d’abord que revendiquait d’ailleurs sans cesse le peuple Nigérien souverain, depuis l’avènement du Cnsp au pouvoir il y’a près de 20 mois de cela. Si le message du CIRAC était bien perçu par les Nigériens qui partageaient pratiquement les mêmes préoccupations puisque bien avant l’avènement du Cnsp au pouvoir ils exigeaient cette justice sociale, pour les partisans de l’ancien président Issoufou Mahamadou, cette déclaration marque le début d’une ère apocalyptique d’où le recours aux méthodes malveillantes, pour salir la réputation de Idi Ango Omar. Pourtant, les explications de la CIRAC aussi claires que limpides, s’inscrivent dans la droite ligne de la refondation de l’Etat. La refondation telle qu’elle est perçue et attendue par les Nigériens ne peut se réaliser sans l’instauration d’une véritable justice équitable et impartiale. Ainsi rappelait le CIRAC, pour que la cohésion sociale soit sincère et durable, le pardon doit réunir trois conditions : la divulgation de l’exacte vérité en rapport avec les griefs exprimés et les faits reprochés ; que justice soit faite contre les crimes et délits et que tous les auteurs cocoauteurs et complices répondent de leurs actes ; et enfin le pardon requiert le repentir des coupables. S’agissant de l’oubli selon le CIRAC, un peuple qui oubli son passé se condamne à le revivre, et c’est pour ne pas oublier que les historiens oeuvrent à nous faire connaitre notre passé, car l’oubli travesti l’histoire, et n’aide pas à tirer les leçons pour mieux comprendre le présent, et préparer l’avenir en toute lucidité et responsabilité. Quelle est cette personne saine d’esprit et de bonne foi, qui peut trouver à redire sur ce message de la CIRAC ? Idi Ango Omar et ses camarades, en agissant de la sorte rendaient en réalité service au Cnsp et à leur pays. Qu’une monstrueuse machine proche de l’ancien Président Issoufou Mahamadou s’acharne honteusement contre ce personnage est tout a fait surprenant parce qu’il a seulement parlé de justice, alors tout le monde en a besoin parce que le besoin de justice est un besoin naturel comme tous les autres. Par comment des individus impudiques, peuvent- ils se permettre au nom de la libéré d’expression, de s’en prendre gratuitement à un honnête citoyen qui a loyalement servi ce pays, le calomnié au besoin, dans un malsain désir maladif de couvrir des prédateurs des deniers publics qui de toutes les façons, n’échapperont jamais à la justice des hommes en attendant celle de l’autre monde ? Lorsqu’on passe au crible les actes graves, l’enfer dans lequel Issoufou que ces partisans tentaient désespérément de défendre a plongé le Niger pendant plus d’une décennie, on peut se demander comment ces partisans zélés peuvent-ils oser salir quelqu’un d’autre dans ce pays, a fortiori parler mal de Mr Idi Ango Omar aux Nigériens ? L’intervention de la CIRAC sur la chaîne nationale a profondément marqué les esprits. Elle repose sur une vision objective partagée par tous les Nigériens désormais conscients que la justice sociale tant chantée par la refondation de l’Etat sur tous les toits et à toute les occasions, est la seule alternative pour bâtir un Etat fort, et renforcer la cohésion sociale et l’unité nationale. Les partisans d’Issoufou en transe, auront plus à gagner en s’apitoyant sur le triste sort qui attend leur pitoyable maître, que de chercher vainement à détruire des gens dont Idi Ango,qui jouissent de l’estime du peuple Nigérien.

Amadou Harouna (Le Canard en furie)