Forum Afrique des Investisseurs Français en Afrique, édition 2023/Atelier du Niger : Les opportunités d’affaires du Niger présentées sous toutes leurs formes aux investisseurs Français et européens
Lors du forum de Paris auquel prenait part le Premier ministre, Chef du Gouvernement, M. Ouhoumoudou Mahamadou à la tête d’une importante délégation, un atelier spécifique a été dédié au Niger. Six membres de la délégation nigérienne ont conjointement animé un atelier dans la salle Concorde de l’hôtel NOVOTEL de la capitale française. Outre le ministre du commerce, Pr. Alkache Alhada, le panel d’intervenants est constitué du conseiller spécial du Président de la République, coordonnateur du programme Agro-industriel, M. Amadou Allahoury, du directeur général de l’Agence Nigérienne de Promotion des Investissements Privés et des Projets Stratégiques (ANPIPS), M. Nouhou Insa Abary, du directeur général de l’Agence Nigérienne de l’Economie des Conférences (ANEC), M. Mohamed Saidil Moctar, du président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Niger (CCIN) M. Moussa Sidi Mohamed et du président du Réseau des Chambres d’Agriculture du Niger (RECA), M. Abdou Maidagi.
L’atelier du Niger s’est ouvert juste après la cérémonie inaugurale du forum en présence du Premier ministre M. Ouhoumoudou Mahamadou. Il n’eut fallu que quelques minutes pour que les participants prennent d’assaut toute la salle Concorde qui eut de la peine à contenir le beau monde. En effet, cela montre tout l’intérêt que suscite le Niger aux yeux des investisseurs. Et ils étaient nombreux, les hommes d’affaires et experts en commerce international à avoir pris activement part à cet atelier pour mieux connaitre le Niger et les opportunités qu’il leur offre pour investir et faire prospérer les affaires, sachant qu’il n’y a pas meilleure tribune pour eux de mieux appréhender les choses.
Pendant plus d’une heure d’horloge, les panélistes se sont relayés pour informer sur les potentialités du Niger, pour dire à leurs interlocuteurs à quel point le Niger est prêt à les accueillir et à leur offrir les meilleures conditions d’entreprendre, d’investir, pour leur dire le climat des affaires est propice avec toutes les garanties juridiques, institutionnelles et réglementaires. En effet, chaque intervenant à l’atelier, dans sa sphère de compétence, n’a ménagé aucun effort, ni négligé le moindre détail sur les grandes et ambitieuses réformes entreprises par le Niger depuis plus de dix ans pour permettre aux acteurs économiques (investisseurs, entrepreneurs privés nationaux et étrangers) de se sentir en sécurité. De par leurs explications claires et précises, les panélistes ont donné une grande satisfaction aux participants à en juger par l’attention toute particulière accordée aux communications.
Qu’il s’agisse du commerce en général, du programme présidentiel du parc Agro-industriel, de l’entreprenariat agricole et des potentialités dans le secteur, du partenariat Public-privé, de l’énergie ou encore des opportunités du tourisme d’affaires et l’organisation d’événements internationaux, les panélistes n’ont rien lâché, ni laissé le moindre détail pour convaincre, rassurer les candidats à l’investissement au Niger.
«Le seul risque que vous prenez au Niger, c’est celui de faire de l’argent», déclare le ministre du Commerce
Intervenant le premier, le ministre du Commerce, Pr Alkache Alhada a rappelé aux participants que le Niger est un pays fiable, comme l’a dit auparavant la Secrétaire d’Etat française chargée de la Coopération, Mme Chrysoula Zakaropoulou lors de l’ouverture du forum. Mieux, il est un pays politiquement stable qui garantit une sécurité juridique pour les investisseurs a soutenu le ministre ajoutant que le Niger est aussi un pays où règnent l’Etat de droit et le respect des principes démocratiques constitutionnels depuis 2011 avec pour la première fois une alternance démocratique à la tête de l’Etat. Les autorités nigériennes sont en train de tout faire pour davantage renforcer les conditions de la fiabilité et de la stabilité nécessaires aux investissements.
Avec une économie soutenue d’une part, par une croissance à deux chiffres, soit 11,5% en 2022 et qui sera d’environ 16,2% en 2023, le Niger va démarrer en fin 2023 l’exportation du pétrole brut à travers le pipeline vers le marché international. Cela va enclencher une dynamique du développement. Et le Niger veut être accompagné dans son processus de développement. Le ministre Alkache a invité les investisseurs en général et les investisseurs français en particulier à anticiper, à ne pas être frileux, mais à avoir de l’audace pour saisir toutes les opportunités que le Niger leur offre et cela dans tous les secteurs. «Il y a des nouvelles perspectives», a-t-il dit à ses interlocuteurs soutenant qu’ils doivent faire confiance au Niger qui est un partenaire fiable et sûr.
A titre illustratif, le ministre a expliqué que le secteur de l’énergie constitue un créneau porteur car, le Niger dispose de toutes les sources d’énergie possibles à savoir l’uranium, le pétrole, le soleil, le vent, l’eau. Dans le secteur agricole, le Niger regorge d’importantes quantités d’eau souterraine qui ne demandent qu’à être exploitées pour développer une industrie agro-alimentaire. Le ministre du Commerce a conclu son intervention en paraphrasant le ministre d’Etat en charge de l’Energie qui disait aux investisseurs, lors du panel qu’il animait devant la plénière du forum que, «le seul risque que vous prenez au Niger, c’est celui de faire de l’argent».
«Le climat des affaires au Niger est favorable aux investissements», affirme le DG de l’ANPIPS
Intervenant à son tour sur le climat des affaires, le directeur général de l’ANPIPS, M. Nouhou Insa Abary a rassuré les investisseurs en ces termes «le climat des affaires au Niger est favorable aux investissements». Et pour cause, le Niger est cette terre d’opportunités qui dispose d’un environnement des affaires bien sécurisé, avec un arsenal juridique et un cadre institutionnel réglementaire bien fourni couvrant tous les secteurs stratégiques qu’il s’agisse du secteur agricole, énergétique, celui des mines, etc. Illustrant ses propos, le DG de l’ANPIPS a indiqué qu’au Niger où beaucoup d’entreprises étrangères exercent déjà, il y a le principe de la non-double taxation au profit de celles-ci. C’est-à-dire que lorsqu’une entreprise est immatriculée ailleurs, elle est exemptée de tous les impôts qu’elle paie à son pays d’immatriculation. Le code des investissements nigérien est très favorable pour les investisseurs qui sont exemptés des droits de douanes et des taxes d’exploitation pour les cinq premières années d’installation, par exemple. Le Niger offre la possibilité de développer un partenariat Public-Privé qui permet de partager le risque d’investissement avec l’Etat. Il dispose d’une Maison de l’entreprise qui facilite les procédures administratives d’immatriculation, d’installation.
L’ANPIPS est une institution d’accompagnement des investisseurs dans leur installation, le démarrage de leurs activités et la période d’exploitation. Sur le plan judiciaire, le Niger a créé un tribunal de commerce opérationnel avec une compétence exclusive sur les litiges commerciaux. Grâce à cette juridiction spécialisée, les longues attentes dans le règlement des litiges n’est plus qu’un lointain souvenir pour les opérateurs économiques nationaux et étrangers. Tout comme le ministre du Commerce, le directeur général de l’ANPIPS a tenu à rassurer les interlocuteurs que tout est fait pour permettre aux investisseurs de s’installer facilement, d’exercer librement leurs activités sur l’ensemble du territoire en toute sécurité. La sécurité qui semble être l’une des inquiétudes des investisseurs, le Niger résiste aux menaces sécuritaires depuis dix ans, démontrant sa résilience mais aussi l’efficacité des dispositifs mis en place pour sécuriser et protéger les populations et leurs biens. Pour M. Nouhou Insa Abary, les investisseurs peuvent nous faire confiance à ce sujet également.
«L’industrie agro-alimentaire offre des belles perspectives d’affaires et donc une opportunité d’investissement pour les opérateurs», souligne le conseiller spécial du Président de la République
Le secteur rural contribue à 40% au PIB du Niger. D’où l’importance que lui attache tout particulièrement le Président de la République. La création du programme Agro-industriel participe à la matérialisation de cette vision présidentielle. Le conseiller spécial du Président de la République en charge dudit programme confirme qu’effectivement le Niger est une terre d’opportunités en matières agricoles grâce à son climat permettant de produire une gamme variée de cultures. Son sous-sol bondé de 2000 milliards de m3 d’eaux exploitables, ses 2,5 milliards d’eaux renouvelables lui permettent d’irriguer un potentiel de 11 millions d’hectares a dit le conseiller Amadou Allahoury. L’élevage qui est la seconde mamelle de l’économie nigérienne est doté d’un cheptel de plus de 55 millions de têtes d’animaux pour l’alimentation duquel on peut développer une culture fourragère de plus de 16 millions d’ha. Le programme agro-industriel découle de la volonté de mettre en valeur tous les potentiels et développer une industrie agro-alimentaire à travers la transformation.
«L’industrie agro-alimentaire offre des belles perspectives d’affaires et donc une opportunité d’investissement pour les opérateurs nationaux et étrangers», a soutenu le conseiller spécial du Président de la République.
Amadou Allahoury a cité certains produits pour étayer ses arguments. Il s’agit entre autres de la filière viande et les cuirs et peaux d’excellence qualité, de l’oignon (le violet de Galmi), du sésame, du haricot ou encore de l’arachide. S’agissant de la filière viande, il a indiqué qu’au Niger il existe 7 ranchs qui ne demandent qu’à être réhabilités et exploités pour toute la chaine de l’embouche, de l’abattage et d’exportation. «L’oignon dont le Niger est premier exportateur en Afrique de l’Ouest et qui est d’une qualité exceptionnelle est malheureusement exporté de manière brute», a déploré le coordonnateur du pôle agro-industriel, alors qu’il y a la possibilité de transformer ce produit a-t-il estimé. L’oignon est une belle opportunité pour les investisseurs a-t-il affirmé.
Face à son auditoire, le conseiller spécial a souligné que le sésame, le haricot dont le Niger est 2ème producteur mondial, la tomate, l’arachide sont aussi des produits autour desquels peut se développer un business lucratif important et qu’il existe un dispositif assez bien élaboré comme le cadre du partenariat Public-Privé et bien d’autres structures et autres cadres juridiques et réglementaires. Le programme présidentiel du pôle Agro-industriel se propose alors d’accompagner tous les investisseurs à travers la création des parcs agro- industriels avec toutes les facilités et l’accompagnement nécessaires aux petits producteurs comme aux gros investisseurs pour mettre en valeur les immenses potentialités et produire toutes sortes de cultures, étant entendu que l’eau et l’espace sont disponibles.
«Au Niger, il y a un secteur privé qui crée de l’emploi, de la richesse malgré tout ce qu’on dit sur la sécurité», assure le président de la Chambre de commerce
Au nom des opérateurs économiques nigériens, le président de la chambre de commerce, M. Moussa Sidi Mohamed a mis l’accent sur certains aspects que les autres intervenants n’ont pas évoqués et qui concourent à la création d’un bon climat des affaires au Niger. C’est le cas du cadre des recours fiscaux CARFI, la formation professionnelle dont le niveau est rehaussé à 25%. Soutenant que le secteur privé nigérien se porte bien et qu’il le serait encore mieux n’eut été la COVID-19, M. Moussa a expliqué que l’accompagnement de l’Etat a été constant, la croissance en berne est repartie à la hausse avec 11,5% en 2022. Les dispositifs institutionnels, législatifs sont au point a-t-il indiqué, mais le secteur privé nigérien a besoin des investisseurs étrangers et le transfert de technologie pour pouvoir être propulsé et faire de lui l’élément central de la création de richesse, de l’emploi et donc être le moteur du développement tel que voulu par le gouvernement. «Au Niger, il y a un secteur privé qui crée de l’emploi, de la richesse malgré tout ce qu’on dit sur la sécurité» a dit le président de la Chambre de commerce à ses collègues français ajoutant qu’il a développé et renforcé le dialogue Public-privé regroupant tous les acteurs autour du Premier ministre et du ministre du Commerce.
La Chambre de Commerce a quant à elle développé un cadre de dialogue permanent avec le ministère du Commerce, la direction générale des impôts, la direction générale des douanes. Tout cela permet de régler les éventuels problèmes qui surgissent voire d’anticiper. «C’est dire que nous avons des mécanismes de dialogue à tous les niveaux et qui marchent correctement», a relevé M. Moussa. Le président de la chambre de commerce a rassuré les investisseurs que leurs investissements sont en sécurité car, «même si les problèmes existent, la particularité au Niger est que chaque fois qu’un problème survient, nous avons les moyens de le régler et de lui trouver une solution». Outre ces différents mécanismes regroupant tous les acteurs du secteur privé, le président Moussa Sidi Mohamed a tenu à dire de vive voix aux investisseurs intéressés par le Niger que les portes du Niger sont grandement ouvertes, les ministres sont accessibles, les institutions le sont également.
Le président de la CCIN a affirmé sans équivoque que le secteur privé nigérien se porte bien et qu’il se porterait davantage mieux si les investisseurs européens, qui se montrent un peu frileux, s’intéressent au Niger et lui fassent confiance, car, il est un pays fiable et stable. M. Moussa Sidi a fait le parallèle avec leurs collègues investisseurs Turcs, Chinois, Indiens, arabes qui viennent chaque jour au Niger pour investir et partager la richesse. «Alors que nous partageons énormément des choses avec nos partenaires européens et français particulièrement, je leur dit qu’avec les potentialités et les possibilités qu’il y a, nous les acteurs du secteur privé nigérien, nous les attendons à bras ouverts. Le Niger est aujourd’hui un pays où on peut investir sans aucun souci et avec toute la sécurité requise», a conclu le président de la chambre de commerce.
«Le Niger a besoin des partenaires privés, des investisseurs pour développer les immenses potentialités agrosylvopastorale, halieutique et forestière», Président du RECA
Le Président du RECA, M Abdou Maidagi a présenté sa structure, créée en 2000, en tant qu’institution qui a pour vocation d’accompagner l’Etat dans la préparation du monde rural dans l’atteinte des objectifs assignés au secteur rural pour le développement du Niger. Le RECA s’occupe de l’agriculture, de l’élevage, de la pisciculture, de l’horticulture et de la sylviculture. Avec plus de 80% de sa population rurale qui utilise jusque-là des moyens ruraux dans la production, le Niger a besoin des partenaires privés, des investisseurs pour développer les immenses potentialités agro-sylvo-pastorales, halieutiques et forestières. Le secteur rural nigérien regorge des opportunités que doivent saisir les investisseurs pour moderniser la production et développer des chaines de valeurs a laissé entendre M. Maidagi. Il y a certes des petits producteurs et des producteurs privés, a-t-il reconnu. Mais ils ont besoin d’appui, d’expertise et d’expérience des grands groupes internationaux pour exploiter de manière adéquate les énormes potentialités du Niger. Le RECA a conscience de l’importance des ressources humaines pour atteindre les objectifs. Et c’est dans ce sens qu’il a formé et continue de former et encadrer les producteurs ruraux à la prise en charge du développement de ce secteur.
«L’ANEC a organisé 135 événements internationaux avec plus de 30000 participants pour un cumul de revenu estimé à plus de 30 milliards f CFA», déclare le Directeur général de l’ANEC
Le Secteur de l’économie des conférences est certes nouveau, mais c’est un secteur porteur a dit le DG de l’ANEC M. Mohamed Saidil Moctar qui expliquait que l’économie des conférences est essentiellement une économie de services, un secteur très porteur qui représente selon la Banque Mondiale 75% du PIB des pays développés. L’économie des conférences occupe pour 9% le PIB de l’économie mondiale et il est en constante évolution a indiqué le DG de l’ANEC. On peut donc comprendre que l’initiative du Niger de créer une agence dédiée à ce secteur est pertinente à plus d’un titre. Mais elle démontre aussi et surtout de la vision futuriste de nos dirigeants. M Saidil Moctar a indiqué que le Niger, qui tient à tirer sa part dans cette industrie florissante, est engagé dans l’économie des conférences pour plusieurs raisons, c’est non seulement pour développer les ressources mais également pour donner de la visibilité au pays car, le Niger n’était pas, jusqu’à un passé récent, bien connu en dehors de l’espace francophone.
Si les autorités du Niger ont décidé de créer l’agence, c’est avec l’ambition d’accueillir le maximum d’événements possibles au Niger, d’ouvrir le pays au reste du monde, de faire venir le maximum de personnes dans le pays pour le faire connaitre et le découvrir. Le second objectif ayant guidé à la création de l’ANEC, c’est de créer de l’emploi et de générer des revenus substantiels, de développer le tourisme d’affaires a expliqué M. Saidil Moctar, soulignant que là aussi le Niger entend avoir sa part de cette manne car, un (1) emploi sur onze (11) est lié au tourisme d’affaires selon l’OMT. En termes de résultats, l’ANEC a organisé 135 événements internationaux avec plus de 30.000 participants pour un cumul de revenu estimé à plus de 30 milliards f CFA en termes de retombées économiques, au 31 décembre 2022. Et tout cela en moins de 3 ans après sa création a indiqué le DG. Le Niger, dit-il, veut être le hub de l’Afrique de l’Ouest dans le domaine de l’économie des conférences, avec un objectif de 60 grands événements chaque année.
Pour M. Saidil Moctar il y a là également d’énormes opportunités d’affaires pour les investisseurs notamment en ce qui concerne les infrastructures d’accueils d’événements. La raison pour lui est les trois hôtels 5 Etoiles construits à Niamey ne répondent plus à la demande qui est de plus en plus importante. «Nous sommes en manque. Parfois nous renonçons à certains événements parce que nous n’avons pas la capacité d’accueil». Il y a donc un besoin d’infrastructures qui se pose déjà, vu que le Niger est de plus en plus sollicité pour accueillir des grandes rencontres internationales, a laissé entendre le DG de l’ANEC. Il a ajouté qu’il y a aussi un besoin en termes de formation et de renforcement de capacités étant entendu qu’il s’agit d’un métier nouveau. Pour M Saidil Moctar, il y a une opportunité de création d’école pour ces secteurs-là. Il y a également un besoin réel en infrastructures dans les domaines de l’hôtellerie et tourisme, de la restauration, de la Communication et bien d’autres sous-secteurs connexes, a affirmé le Directeur général pour conclure son intervention.
A l’issue de cet atelier qui a enregistré une participation massive, on peut sans risque de se tromper dire que le slogan «Niger, Terre d’Opportunités» n’a jamais bien porté tout son sens et n’a jamais aussi bien résonné dans l’oreille des investisseurs français que ce mardi 18 avril 2023 à l’hôtel NOVOTEL de Paris. Le forum des investisseurs français a été une véritable tribune pour la délégation du Premier ministre, Chef du Gouvernement de rassurer, de vive voix, les investisseurs français et européens et ceux des autres continents que le Niger est non seulement une terre d’opportunités, mais aussi et surtout un lieu sûr pour investir.
Zabeirou Moussa(onep), Envoyé spécial
Source : http://lesahel.org/