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Clôture de la consultation participative sur le financement des PME : Amélioration la situation des PME au Niger à travers des propositions concrètes

Les travaux de la consultation participative sur le financement des PME et PMI organisés par le Conseil Economique Social et Culturel (CESOC) et le Fonds de Solidarité Africain (FSA) ont pris fin le jeudi 13 octobre dernier à Niamey. Après deux jours d’intenses travaux, les participants ont été édifiés sur tous les sujets abordés lors de cette rencontre. La cérémonie de clôture a été présidée par le 1er vice-président du CESOC, M.  Saddi Samaila.

Dans l’allocution qu’il a prononcée lors de la clôture de cette consultation, le 1er vice-président du CESOC a d’abord indiqué que, ces deux jours d’intenses travaux sur le financement des PME, ont permis d’écouter tous les acteurs qui ont été réunis à travers les panels au cours desquels le président des PME, ont expliqué la situation des PME au Niger. Il s’en est suivi des échanges fructueux entre les banques, les petites et moyennes entreprises  et le FSA. Ces échanges ont permis de comprendre le rôle de tout un chacun pour une bonne collaboration. M. Saddi Samaila a également souligné que, le rôle du CESOC est de soutenir et encourager les entreprises plus performantes à la fois au Niger et à l’extérieur.

Ainsi,  à l’issue des différents échanges, le 1er vice-président du CESOC a annoncé qu’il a été décidé de mettre en place un comité qui sera composé de tous les acteurs, notamment les banques avec trois (3) représentants, le FSA avec deux (2) représentants, les PME avec trois (3) représentants et le CESOC avec deux (2) représentants. Ce comité, a rassuré M. Saddi Samaila, sera rapidement mis en place afin qu’il puisse faire des propositions concrètes. Ces dernières seront soumises aux différents acteurs concernés pour une bonne amélioration de la situation des PME. «L’amélioration de la situation des PME au Niger permettra aux banques d’être plus rentables, au FSA d’assumer plus son rôle de garantie et permettre enfin, à l’Etat d’être plus performant et d’avoir une croissance plus plausible», a conclu le 1er vice-président du CESOC.

Rachida Abdou Ibrahim et Omar Abdou (Stagiaire)

Source : http://www.lesahel.org