Skip to main content

Accueil

Fait divers - Affaire Ali R Sékou et la serveuse du bar : Des faits de l’histoire qui méritent d’être contés

 Ces événements qui remontent au régime du Général Baré méritent, à tous points de vue, d’être connus par la nouvelle génération et ceux qui ont peut être oublié l’affaire. Des faits qui se sont déroulés en 1998 et dont «l’historien » Ali Ramadan Sékou était au centre. Un jour de cette année 1998, Ali R. Sékou, dans ses errements freudiens, a monté un grotesque mensonge cousu de fil blanc qui s’était finalement retourné contre sa lui et la crédibilité de son journal. Des faits qui, à l’époque, ont bouleversé toute la presse privée qui luttait pour la liberté d’expression, un droit fondamental inaliénable. Ces faits, devenus des faits historiques, vont être racontés et pour tout le temps.
En effet, au cours d’une nuit de l’année 1998, Ali R. Sékou était à la rencontre d’une des ses dulcinées, une serveuse dans un bar dont nous taisons le nom mais qui est situé vers le quartier Zabarkan. Une nuit qu’il pensait radieuse pour lui. Car, avec la fille, il faisait couler l’alcool à flot et les caresses aux f… à chaque tournée. La fête était belle et à la hauteur de l’image de l’historien qui exerçait à l’époque le métier de journaliste. C’était une véritable conquête pour lui. Mais hélas, à la fermeture du bar, au petit matin, les vrais amants de la fille étaient venus à sa recherche. Et Ali R. Sékou refuse qu’elle parte avec ses concurrents. Une rixe éclate entre les deux prétendants. Ali Sékou est copieusement corrigé et réduit à l’expression d’un simple clochard de bar. Le lendemain, sans honte, il s’est mis à vociférer dans la presse en attribuant sa correction au régime du Général Baré. En réaction à sa sortie médiatique, ses concurrents auprès de la serveuse convoitée ont déclaré à un organe de presse de la place qu’ils ont décidé de bastonner Ali R. Sékou parce qu’il est toujours derrière leur copine. Et l’information a fait le tour de la capitale. Ali Sékou a menti aux Nigériens. Car, aux dires de ses concurrents, le régime Baré n’était nullement lié à l’affaire. Mais, plutôt, c’est une affaire de f… qui a tourné aux poings. Voilà une histoire qui ne fera l’objet d’aucune contestation. Car les journalistes ont qui recueilli les témoignages de ceux qui l’ont corrigé sont vivants et les journaux parus pour donner l’information doivent avoir été légalement déposés aux archives nationales. N’est ce pas une histoire honteuse qui en dit long sur la personnalité de l’intéressé.

A.S