Nigérien de la semaine.
Catégories enfants
Le Nigérien de la semaine : M. Agali MAINASSARA TOMBOLOGI
Nous allons commencer par vous demander de vous présenter aux internautes de Nigerdiaspora.
Je m’appelle Agali MAINASSARA TOMBOLOGI, né le 11 juin 1968 à Tillabéry.
Mon père a servi la République du Niger comme Garde Républicain jusqu’à son décès le jeudi 18 novembre 1981 à Kollo.
Je réside en France depuis Juin 2005.
Votre parcours académique, professionnel !
J’ai fait mes études primaires et secondaires à Niamey et Kollo.
Après l’obtention de mon BEPC en 1986-1987, j’ai été victime de non orientation à cause d’une mauvaise note de discipline attribuée par un professeur d’éducation physique dont je tairai le nom.
Après une année sabbatique obligatoire, j’ai fait la capacité en droit en 1987-1988 avant de subir à nouveau la période sombre des années blanches juste après le décès de feu Général Seyni KOUNTCHE. Pour éviter de perdre beaucoup d’années désormais dans ce qui devient mon parcours atypique, j’ai décidé de faire une formation professionnelle afin de pouvoir subvenir très vite aux besoins cruciaux de ma famille sans ressources depuis que la mort a fait de moi à 12 ans orphelin de père en 1981. J’ai obtenu un diplôme d’opérateur de saisie et comptabilité informatique au centre de formation de CENETI à Lomé-Togo en 1989-1990. C’est par cette petite porte que je fais mes premiers pas d’abord à la SONIDEP, UGAN. J’ai par la suite eu l’opportunité de faire une licence en théologie et d’avoir une vie de prédicateur de l’évangile avant de revenir dans le monde des entreprises en 1997 en qualité de gestionnaire de stock puis gestionnaire comptable à la superette de Shell-Mali béro qui était alors en gestion directe par la compagnie SHELL .
La Nigérienne de la semaine : Kadidiatou Moussa Soussou, analyste technique en qualité logiciels
Pour commencer, voudriez-vous vous présenter aux Internautes de Nigerdiaspora?
Je m'appelle Kadidiatou Moussa Soussou, je suis analyste technique en qualité logiciels, et je réside à Montréal, au Canada, depuis 2014.
Pouvez-vous nous édifier, un tant soit peu sur votre parcours académique?
J’ai fait mes études primaires et secondaires à Zinder, Kollo et Niamey. Après l’obtention de mon baccalauréat D au lycée Mariama de Niamey, en 1998, j’ai entamé mes études supérieures à l'université Arabe des Sciences en Tunisie où je suis sortie avec une maîtrise en informatique de gestion en 2002.
Après quelques années d’expériences au Niger, j'ai décidé de reprendre les études pour booster ma carrière professionnelle. C’est ainsi que j'ai été admise à l'université de Rennes 1 en France où j'ai obtenu le Master 2 en informatique décisionnelle en 2013.
Et aujourd’hui, quelles sont vos expériences aussi bien au niveau national qu’international ?
Au niveau national, après l'obtention de ma maîtrise en informatique en Tunisie, j’étais rentré au Niger où j'ai effectué deux années de service civique national au Ministère de la Fonction Publique. Par la suite, j'ai travaillé durant cinq ans dans une entreprise à vocation commerciale à Niamey. Je ne me sentais pas épanouie dans ce travail. Alors, ne voyant pas des opportunités d'évolution venir, j'avais décidé de prendre mon destin en main en pariant sur les nouvelles technologies à l'étranger.
Au niveau international, en France j'ai eu la possibilité de travailler et d’effectuer également des stages aussi bien dans des PME que dans des grosses firmes en informatique parmi lesquelles Docapost DPS, Claranet, Sopra Steria, etc.
Par la suite, tel un pigeon voyageur, j'ai décidé de m'installer au Canada où j'ai immédiatement trouvé un emploi dans mon domaine de formation..J'ai eu aussi l’opportunité de capitaliser des expériences très enrichissantes dans des sociétés de services en informatique (Sogema, Nexio, Fujitsu). Il faut dire que c'est un réel plaisir pour moi de travailler sur des logiciels utilisés en Amérique, en Europe mais également en Afrique (Nigeria, Sénégal, Mali etc.)
Quels sont les principaux atouts qui vous ont permis de réussir dans votre carrière professionnelle au Canada ?
C’est d’abord le fait que mon intégration professionnelle ait été très facile ! Disons que, d'une part, le Bon Dieu a fait son miracle et le fait d'avoir des diplômes français y a beaucoup contribué. D'autre part, il faut reconnaître aussi qu'au Canada, l'industrie technologique connaît une croissance exceptionnelle. Ce qui fait qu’une bonne partie des entreprises sont en expansion et ont constamment besoin de main d’œuvre. D'ailleurs chaque année, le Ministère de l'immigration organise des sessions de recrutement en France et en Belgique.
Qu’est-ce qui vous a poussée vers l’informatique, sachant que pour une femme ce n’est pas à priori assez tentant comme filière?
Disons que c’est ma soif d'apprendre qui m’a poussée vers l’informatique et l'envie de suivre les traces de mon père feu Moussa Soussou qui a fait ses études aux USA et était l'un des premiers ingénieurs agronomes au Niger. Il y´a aussi le fait que c'est un domaine qui offre non seulement un grand nombre de spécialisations, mais également de bonnes perspectives d'embauche. D'un autre côté, c'est une discipline qui est en train de changer la vie des gens, car elle est pratiquement devenue indispensable dans tous les secteurs d'activités.
« C’est ma soif d'apprendre qui m’a poussée vers l’informatique »
Quel rôle le Niger a-t-il joué dans votre carrière, votre parcours d’Analyste en assurance qualité logiciels ?
Le Niger, ma très chère patrie, a en effet joué un rôle capital dans mon parcours, car j'ai bénéficié de la gratuité de ma formation de base. Permettez-moi de remercier toute ma famille et j'accorde une mention très honorable à mes parents (qu’ils reposent en paix) qui ont entièrement financé mes études supérieures et m'ont soutenue sans relâche. Je ne cesserai jamais de les remercier car c'est l'un des plus beaux héritages qu'un parent puisse léguer à son enfant.
Que pensez-vous du développement informatique au Niger? Et quel constat faites-vous aujourd’hui en informatique au Niger? Avez-vous des solutions, des plans…?
Le constat que je fais pendant mes séjours au Niger est qu'il existe quelques insuffisances liées au coût élevé de la connexion internet, l' inexistence des cours d'informatique dans les écoles (primaires et lycée) et c'est des choses qu'on devrait apprendre dès bas âges. La preuve aujourd’hui, le plus jeune programmeur en informatique du monde Muhammad Hamza Shahzad à 8 ans.
Comme solutions, je dirais que l’ Etat doit inscrire l’informatique parmi les grandes priorités, car c'est une discipline qui est incontournable pour le développement d'un pays. De même, les jeunes doivent s’intéresser au développement de logiciels sur mesure, autrement dit mieux adaptés aux réels besoins en Afrique. Enfin, il y a lieu d’accompagner les entreprises qui n'utilisent pas encore le numérique.
Quels conseils donneriez-vous aux jeunes Nigériens qui voient en vous un modèle?
Nous sommes tous unique les uns et les autres. Nous avons tous des parcours différents. Néanmoins comme conseil, je leur dirais «no pain no gain», autrement dit, sans la souffrance, il ne pourrait y avoir de bonheur. J’encourage donc les jeunes frères et sœurs à travailler, à surpasser les obstacles et rester persévérants et surtout ne pas écouter les gens qui découragent.
Votre mot de la fin?
Je tiens à remercier chaleureusement Nigerdiaspora de m’avoir donné l'opportunité de m'exprimer .
Kadidiatou Moussa Soussou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Réalisée par Boubacar Guédé
26 octobre 2017
Source : http://Nigerdiaspora.Net
La Nigérienne de la semaine : Mlle Biba Nainou Dogo
Biba Nainou Dogo est la représentante commerciale de Phocos AG en Afrique de l’Ouest, une société spécialisée dans la production d’énergie solaire basée à Ulm, en Allemagne. Phocos fabrique un éventail complet d'éléments haut de gamme pour les systèmes d'alimentation électrique autonomes basés sur les énergies renouvelables. La firme est l'un des premiers fournisseurs d'éléments de systèmes d'alimentation électrique autonomes dans le monde. Cette société développe, conçoit et fabrique des produits qui répondent aux besoins des acteurs du marché mondial de l'énergie solaire. La recherche en matière de produits est particulièrement axée sur le problème du stockage d'énergie des systèmes de production d'électricité autonomes. Cette société a pour but d'améliorer l'efficacité et la fiabilité des systèmes dans leur intégralité en diminuant les coûts grâce à une production, un stockage et une consommation d'énergie intelligente.
La Nigérienne de la semaine : Mme Amy Bello
Installée en France depuis plus de vingt 25 ans, notre compatriote Amina Bello, après avoir suivi une formation en gastronomie à Paris, est aujourd’hui entrée dans la cour des grands en matière de gastronomie. En effet Amina est à la tête d’un restaurant de grand standing, dénommé ‘’African Lounge’’, situé dans le mythique Triangle d’or parisien, à quelques mètres des Champs Elysées et de la Tour Eiffel. Cette Ambassadrice de la gastronomie nigérienne s’est livrée à Nigerdispora.
La Nigérienne de la semaine : Docteur Rakia Moulaye
A travers sa rubrique «Le Nigérien de la semaine», Nigerdiaspora, vous fait découvrir dans ce nouveau numéro, une Nigérienne vivant en France, en la personne de Madame Rakia Moulaye, Docteur en Sciences-Biotechnologies et Santé-Environnement, Enseignante à l’Académie de Paris. Dans l’entretien qu’elle a bien voulu nous accorder, Mme Rakia Moulaye accepte volontiers de parler aux Internautes de Nigerdiaspora, de sa personne, son parcours académique, ses expériences de la vie, tant au plan national qu’international ; les difficultés auxquelles elle avait fait face dans sa vie professionnelle pour être là où elle est aujourd’hui, mais aussi de ses projets et visions pour son pays le Niger et pour sa jeunesse estudiantine. Lisez plutôt.
La Nigérienne de la semaine : Mademoiselle Hariettou MAGAH
Mademoiselle Hariettou MAGAH Nigerdiaspora, à travers sa rubrique, «La Nigérienne de la semaine» vous fait découvrir pour ce numéro, une femme spéciale, dynamique, visionnaire et entreprenante, Hariettou MAGAH, consultante en système d’information dans un cabinet conseil à Paris (France). Etant loin de son pays, Hariettou MAGAH a toujours dans l’esprit, son cher Niger, pour lequel elle réfléchie en permanence, sur comment apporter sa pierre à la construction nationale.
La Nigérienne de la semaine : Madame Bayard Mariama Gamatié
Madame Bayard Mariama GamatiéParlez-nous de votre parcours académique.
C'est un parcours assez classique. Après mon baccalauréat au Lycée Kassai de Niamey, j’ai suivi un cursus qui m'a mené à l'obtention d'une licence en Economie politique et Sociale, et d'une Maîtrise de sociologie à l’Université Paul Valéry de Montpellier.
Le Nigérien de la semaine : M. Jean-Luc Marcellin
M. Jean-Luc MarcellinDans sa rubrique « Le Nigérien de la semaine », votre site Nigerdiaspora vous propose un entretien à bâtons rompus avec Jean Luc Marcellin, une éminence dans les domaines de la formation professionnelle et technique, des réseaux informatiques et de la formation en ligne. Avec lui, nous avons discuté de sujets variés couvrant son parcours académique, sa carrière professionnelle, ses expériences nationales et internationales, ainsi que ses projets et ambitions. Un entretien très instructif que nous vous proposons dans son intégralité.
Le Nigérien de la semaine : M. Majid Maty
Comment souhaiteriez-vous vous présenter aux internautes de Nigerdiaspora?
Je tiens tout d’abord à vous remercier pour l’honneur que vous me faites de pouvoir m’exprimer à travers votre site internet. Je m’appelle Majid Maty Elhadji Moussa, je suis manager en transport logistique chez Areva à Paris. Je suis actif dans la vie associative, j’aime l’entreprenariat et la découverte d’autres cultures.
Le Nigérien de la semaine : Modi Alzouma Moussa
Comment souhaitez-vous vous présenter aux internautes de Nigerdiaspora?
Je n’ai pas d’autre façon de me présenter qui soit contraire à ce que je suis, c'est-à-dire un citoyen nigérien profondément attaché à son pays, à ses valeurs ainsi qu’au bien-être de ses populations.
Quel a été votre parcours académique?
J’ai fait l’essentiel de mon parcours académique à Niamey, au Niger : l’école Diori, le CEG VI, le lycée Kassaï, puis l’IFTIC. Après quelques années de travail, d’abord dans le privé (le journal Le Démocrate), puis dans la Fonction publique en qualité d’attaché de presse au ministère de l’Education nationale où je suis resté pendant près de dix ans, je suis allé à Lomé, au Togo, pour faire une Maîtrise en communication avant de faire, à Dakar, au Sénégal, un Master en communication.
Plus...
Le Nigérien de la semaine : Nourredine Abdoulmoumine
Comment souhaitez-vous vous présenter aux internautes de Nigerdiaspora?
Je me présenterais tout simplement et avec fierté comme un fils du Niger, racines que je m’efforce d’honorer où que je me trouve.
Quel a été votre parcours académique?
J’ai fait l’école Mission-Garçon de Niamey avant de passer le concours d’enfant de troupe du prytanée militaire de Niamey (PMN), qui ouvrait ses portes la même année. Je faisais ainsi partie de la première promotion de cet établissement, à qui j’attribue d’ailleurs une part de mon succès. En effet, en plus de m’avoir fourni une excellente formation académique, cette école m’a aussi inculqué le sens du devoir, de la rigueur dans le travail et de la persévérance dans les moments les plus difficiles. Au lycée, j’ai suivi des cours en une seconde et première en série C au Niger, avant de m’envoler pour les Etats-Unis afin d’y finir mon année de terminale grâce à l’obtention d’une bourse d’échange.
Le Nigérien de la semaine : Dr Hamidou Mamadou Abdou
Dr Hamidou Mamadou AbdouComment souhaitez-vous vous présenter aux internautes de Nigerdiaspora?
Je suis un nigérien du Monde, qui essaie de préserver la bonne réputation des nigériens partout où je passe. Ingénieur conseil, père de famille de cinq enfants, résident depuis 24 ans au Canada, je travaille dans une trentaine de pays.
Le Nigérien de la semaine : Dr Hamidou Mamadou Abdou
Comment souhaitez-vous vous présenter aux internautes de Nigerdiaspora?
Je suis un nigérien du Monde, qui essaie de préserver la bonne réputation des nigériens partout où je passe. Ingénieur conseil, père de famille de cinq enfants, résident depuis 24 ans au Canada, je travaille dans une trentaine de pays.
Le Nigérien de la semaine : M. HABI Idrissa
M. HABI IdrissaComment vous présenter aux internautes de Niger diaspora?
Je remercie sincèrement Nigerdiaspora de m'avoir donné l'occasion de me présenter comme Nigérien de la semaine.
Je me présente : M. HABI Idrissa, alias Maestro pour les amis, marié et père de famille.
La Nigérienne de la semaine : Mme Halima Alzouma
Mme Halima Alzouma vous êtes l’invité de la rubrique « La Nigérienne de la semaine » du site nigerdiaspora. Comment souhaitez-vous vous présenter aux internautes ?
Je vous remercie pour cette opportunité que vous me donnez. Je m’appelle Mme Issa Alzouma Halima née Issoufou Salatikoye. Je suis psychologue clinicienne, spécialisée en inter culturel. J’ai fréquenté l'école primaire mission fille, avant de continuer mes études secondaires au CEG 2, puis au Lycée Kassaî, toujours à Niamey où j'ai obtenu un bac littéraire.
Le Nigérien de la semaine : M. Abdoulaye SANDA MAIGA
Nigerdiaspora a rencontré pour vous, dans sa rubrique Le Nigérien de la semaine , Monsieur Abdoulaye SANDA MAIGA, Directeur Général de l’Institut Pratique de Santé Publique (IPSP).
La Nigérienne de la semaine : Madame Hama Ramatou
« Tout ce qu’elle touche devient du vernis », ainsi qualifiait un hebdomadaire nigérien, les mains de Madame Hama Ramatou, Directrice de l’école communautaire Décroly de Niamey. De passage en Belgique pour un stage à l’école Décroly de Bruxelles, Nigerdiaspora a rencontré pour vous cette éducatrice au parcours professionnel exceptionnel, en témoignent ses nombreuses distinctions. C’est un exemple vivant du modèle d’enseignant, un monument en chair et en os.
Le Nigérien de la semaine : SEM Adani Illo
Son Excellence Adani ILLO, est l’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Niger auprès de l’Union Européenne. Diplomate de carrière, M. Adani ILLO a occupé plusieurs postes de responsabilité au titre du Ministère nigérien des Affaires Etrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur.
Le Nigérien de la semaine : Adamou MOUSSA SALEY
Nigerdiaspora a interviewé pour sa rubrique « Nigérien de la semaine », Monsieur Adamou MOUSSA SALEY, un Ingénieur en Télécoms qui a bien voulu nous accorder cet entretien. Dans l’interview qui va suivre, l’Ingénieur MOUSSA SALEY nous a d’abord retracé son parcours académique qui à tout point de vue a été un succès.
La Nigérienne de la semaine : Mme Zeinabou Hadari
Comment souhaitez-vous vous présenter aux internautes de Nigerdiaspora ?
Je suis nigérienne âgée de 55 ans, historienne de formation. Dans la réalité j’ai plus travaillé dans le développement, et cela pendant plus de deux décennies. Je suis mariée, mère de 3 enfants (2 garçons et une fille), grand-mère d’une petite fille âgée de 3 ans. Je suis tante de nombreux neveux et nièces.